25 janvier 2013
Une vie intérieure qui bat
Hier, première séance de l'année à la Maison d'Accueil Spécialisé d'Hillion.
Je propose aux résidents d'oeuvrer avec de l'encre de Chine, du brou de noix, de l'eau, et comme outil des morceaux de carton.
Immédiatement, ils s'en emparent et, sans hésitation, projettent sur le papier leur énergie intérieure.
"Au-delà des mots. Au-delà du temps.
La présence d'une vie intérieure qui bat.
La présence d'un monde qui n'en finit pas de se construire."
(Les couleurs de l'oubli - François Arnold, Jean-Claude Ameisen)
Une fois de plus, je suis touchée et bouleversée par ce qui prend forme sur le papier.
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